Côté, Charles-Eugène - Avis de décès | Résidence funéraire Maska

Côté, Charles-Eugène

CÔTÉ, Charles-Eugène

1924 - 2013

À St-Hyacinthe au CSSSRY, Pavillon Honoré-Mercier, le 13 décembre 2013, à l’âge de 89 ans est décédé M. Charles-Eugène Côté, époux de (feu) Mme Lucille Lepage.

 

Le défunt laisse dans le deuil ses enfants :

Louise (feu Guy Frappier) et Diane (Laurent Kenney), de St-Hyacinthe.

Michel de St-Hubert et (feu) Carole.

Ses sept petits-enfants et ses dix arrière petits-enfants.

 

Il laisse également dans le deuil sa conjointe Mme Mariette Beaulac.

 

Plusieurs neveux et nièces, autres parents et amis.

 

La famille vous accueillera à la :

 

  

Résidence funéraire Maska

5325 boulevard Laurier O. Saint-Hyacinthe, Qc. J2S 3V6

Tél: (450) 773-8256 sans frais 1-877-773-8256 Fax: (450) 773-4046

Courriel: necro@rfmaska.coop

Site web www.rfmaska.coop

 

 

Le dimanche 15 décembre 2013 de 13h00 à 16h00. Une liturgie de la parole sera célébrée dès 16h00.

 

L’inhumation aura lieu à une date ultérieure.

 

Vos marques de sympathie peuvent se traduire par des dons à la Fondation des Maladies du Cœur.

 


6 messages reçus

laurent et diane

À VOUS DEUX,LAURENT ET DIANE,QUI ÊTES TOUJOURS LÀ POUR NOUS . À TOI DIANE,QUI A PERDU UN ÊTRE CHER.NOUS SOMMES DE TOUT COEUR, AVEC TOI.NOS PENSÉES VOUS ACCOMPAGNENT. NOS PLUS SINCÈRES CONDOLÉANCES.

ROLAND ROSE-AIMÉE DONAIS, le 14 décembre 2013

Diane

Lors de la perte d'un être cher, notre peine est immense. Dans ces moments de douleurs profondes, les gens se rassemblent pour soutenir ceux qui restent. La distance rend ma présence impossible, cependant, j'espère que cette pensée sincère de sympathie et de compréhension pourra vous être d'un certain réconfort. Mes plus sincères condoléances. Jacqueline, Réginald ainsi que Jérôme et Marie-Claude

Jérôme, le 14 décembre 2013

La famille et Mme Mariette Beaulac

Je ne peux être parmi vous pour rendre hommage à oncle Charles. Lorraine Voici un poème que je dédie à la mémoire de Charles-Eugène Côté Quand je ne serai plus là, lâchez-moi ! Laissez-moi partir Car j'ai tellement de choses à faire et à voir ! Ne pleurez pas en pensant à moi ! Soyez reconnaissants pour les belles années Pendant lesquelles je vous ai donné mon amour ! Vous ne pouvez que deviner Le bonheur que vous m'avez apporté ! Je vous remercie pour l'amour que chacun m'a démontré ! N'allez pas sur ma tombe pour pleurer ! Je ne suis pas là, je ne dors pas ! Je suis les mille vents qui soufflent, Je suis le scintillement des cristaux de neige, Je suis la lumière qui traverse les champs de blé, Je suis la douce pluie d'automne, Je suis l'éveil des oiseaux dans le calme du matin, Je suis l'étoile qui brille dans la nuit ! N'allez pas sur ma tombe pour pleurer Je ne suis pas là, je ne suis pas mort. Poeme amérindien - Charlotte Néwashish Et pour le grand jardinier qu'il était voici ce texte: Sous l’arceau du jardin potager L’Univers s’éclate en sanglots C’est la rosée du premier matin du monde Sur les aubergines, les courges et les concombres   S’en allant tailler ses aumônières Le jardinier écrase innocemment La cigale qui revenait du bout de la nuit La bouche pleine des feuilles du cerisier   Un vortex de champs magnétiques Lui remonte de la moelle épinière Jusqu’au cortex Et dans le corps calleux de la voie lactée   les éphémères éclairent la mort de leurs morts L’escargot s’en va chagriner ses dimanches Le dos chargé de naines blanches Il s’en va faire du ménage dans ses méninges   Celui qui rendait hommage aux roses sidérales Est tombé de sa nébuleuse cérébrale Il est sourd aux commérages de l’oseille, de la ciboulette et de la chicorée   Il a des grenouillettes sous la langue Il bine, il bêche et il pioche Sur ses mots comme sur la terre   Crénom de crénom de Dieu Il est étendu comme le ciel Entre les serfouettes, les griffes-fleurs et les tire-racines   Sous le pont de Varole Ne recoulera plus la parole Son sang s’est coagulé dans la circonvolution de Broca Sa tête est médusée, son ventre dur comme une pierre   Mouches! Asticots et mantes religieuses : Laissez-le tranquille… Il dort.              Poème de Julien Hoquet Et pour le cueilleur de pommes qu'était Charles-Eugène voici un autre beau poème intitulé: LE VERGER Le verger de Anna de Noailles (1876-1933) (Recueil : Le coeur innombrable) Dans le jardin, sucré d'oeillets et d'aromates, Lorsque l'aube a mouillé le serpolet touffu, Et que les lourds frelons, suspendus aux tomates, Chancellent, de rosée et de sève pourvus, Je viendrai, sous l'azur et la brume flottante, Ivre du temps vivace et du jour retrouvé, Mon coeur se dressera comme le coq qui chante Insatiablement vers le soleil levé. L'air chaud sera laiteux sur toute la verdure, Sur l'effort généreux et prudent des semis, Sur la salade vive et le buis des bordures, Sur la cosse qui gonfle et qui s'ouvre à demi ; La terre labourée où mûrissent les graines Ondulera, joyeuse et douce, à petits flots, Heureuse de sentir dans sa chair souterraine Le destin de la vigne et du froment enclos. Des brugnons roussiront sur leurs feuilles, collées Au mur où le soleil s'écrase chaudement ; La lumière emplira les étroites allées Sur qui l'ombre des fleurs est comme un vêtement. Un goût d'éclosion et de choses juteuses Montera de la courge humide et du melon, Midi fera flamber l'herbe silencieuse, Le jour sera tranquille, inépuisable et long. Et la maison, avec sa toiture d'ardoises, Laissant sa porte sombre et ses volets ouverts, Respirera l'odeur des coings et des framboises Éparse lourdement autour des buissons verts ; Mon coeur, indifférent et doux, aura la pente Du feuillage flexible et plat des haricots Sur qui l'eau de la nuit se dépose et serpente Et coule sans troubler son rêve et son repos. Je serai libre enfin de crainte et d'amertume, Lasse comme un jardin sur lequel il a plu, Calme comme l'étang qui luit dans l'aube et fume, Je ne souffrirai plus, je ne penserai plus, Je ne saurai plus rien des choses de ce monde, Des peines de ma vie et de ma nation, J'écouterai chanter dans mon âme profonde L'harmonieuse paix des germinations. Je n'aurai pas d'orgueil, et je serai pareille, Dans ma candeur nouvelle et ma simplicité, A mon frère le pampre et ma soeur la groseille Qui sont la jouissance aimable de l'été, Je serai si sensible et si jointe à la terre Que je pourrai penser avoir connu la mort, Et me mêler, vivante, au reposant mystère Qui nourrit et fleurit les plantes par les corps. Et ce sera très bon et très juste de croire Que mes yeux ondoyants sont à ce lin pareils, Et que mon coeur, ardent et lourd, est cette poire Qui mûrit doucement sa pelure au soleil... ...... Bon jardinage Charles

Lorraine Côté, le 14 décembre 2013

Famille et Mme Mariette Beaulac

Je ne peux être parmi vous pour rendre hommage à oncle Charles. Lorraine .......... Voici un poème que je dédie à la mémoire de Charles-Eugène Côté .......... Quand je ne serai plus là, lâchez-moi ! Laissez-moi partir Car j'ai tellement de choses à faire et à voir ! Ne pleurez pas en pensant à moi ! Soyez reconnaissants pour les belles années Pendant lesquelles je vous ai donné mon amour ! Vous ne pouvez que deviner Le bonheur que vous m'avez apporté ! Je vous remercie pour l'amour que chacun m'a démontré ! N'allez pas sur ma tombe pour pleurer ! Je ne suis pas là, je ne dors pas ! Je suis les mille vents qui soufflent, Je suis le scintillement des cristaux de neige, Je suis la lumière qui traverse les champs de blé, Je suis la douce pluie d'automne, Je suis l'éveil des oiseaux dans le calme du matin, Je suis l'étoile qui brille dans la nuit ! N'allez pas sur ma tombe pour pleurer Je ne suis pas là, je ne suis pas mort. Poème amérindien - Charlotte Néwashish ......... Et pour le grand jardinier qu'il était voici ce texte: Sous l’arceau du jardin potager L’Univers s’éclate en sanglots C’est la rosée du premier matin du monde Sur les aubergines, les courges et les concombres S’en allant tailler ses aumônières Le jardinier écrase innocemment La cigale qui revenait du bout de la nuit La bouche pleine des feuilles du cerisier Un vortex de champs magnétiques Lui remonte de la moelle épinière Jusqu’au cortex Et dans le corps calleux de la voie lactée les éphémères éclairent la mort de leurs morts L’escargot s’en va chagriner ses dimanches Le dos chargé de naines blanches Il s’en va faire du ménage dans ses méninges Celui qui rendait hommage aux roses sidérales Est tombé de sa nébuleuse cérébrale Il est sourd aux commérages de l’oseille, de la ciboulette et de la chicorée Il a des grenouillettes sous la langue Il bine, il bêche et il pioche Sur ses mots comme sur la terre Crénom de crénom de Dieu Il est étendu comme le ciel Entre les serfouettes, les griffes-fleurs et les tire-racines Sous le pont de Varole Ne recoulera plus la parole Son sang s’est coagulé dans la circonvolution de Broca Sa tête est médusée, son ventre dur comme une pierre Mouches! Asticots et mantes religieuses : Laissez-le tranquille... Il dort. Poème de Julien Hoquet .......... Et pour le cueilleur de pommes qu'était Charles-Eugène voici un autre beau poème intitulé: LE VERGER Le verger de Anna de Noailles (1876-1933) (Recueil : Le coeur innombrable) Dans le jardin, sucré d'oeillets et d'aromates, Lorsque l'aube a mouillé le serpolet touffu, Et que les lourds frelons, suspendus aux tomates, Chancellent, de rosée et de sève pourvus, Je viendrai, sous l'azur et la brume flottante, Ivre du temps vivace et du jour retrouvé, Mon coeur se dressera comme le coq qui chante Insatiablement vers le soleil levé. L'air chaud sera laiteux sur toute la verdure, Sur l'effort généreux et prudent des semis, Sur la salade vive et le buis des bordures, Sur la cosse qui gonfle et qui s'ouvre à demi ; La terre labourée où mûrissent les graines Ondulera, joyeuse et douce, à petits flots, Heureuse de sentir dans sa chair souterraine Le destin de la vigne et du froment enclos. Des brugnons roussiront sur leurs feuilles, collées Au mur où le soleil s'écrase chaudement ; La lumière emplira les étroites allées Sur qui l'ombre des fleurs est comme un vêtement. Un goût d'éclosion et de choses juteuses Montera de la courge humide et du melon, Midi fera flamber l'herbe silencieuse, Le jour sera tranquille, inépuisable et long. Et la maison, avec sa toiture d'ardoises, Laissant sa porte sombre et ses volets ouverts, Respirera l'odeur des coings et des framboises Éparse lourdement autour des buissons verts ; Mon coeur, indifférent et doux, aura la pente Du feuillage flexible et plat des haricots Sur qui l'eau de la nuit se dépose et serpente Et coule sans troubler son rêve et son repos. Je serai libre enfin de crainte et d'amertume, Lasse comme un jardin sur lequel il a plu, Calme comme l'étang qui luit dans l'aube et fume, Je ne souffrirai plus, je ne penserai plus, Je ne saurai plus rien des choses de ce monde, Des peines de ma vie et de ma nation, J'écouterai chanter dans mon âme profonde L'harmonieuse paix des germinations. Je n'aurai pas d'orgueil, et je serai pareille, Dans ma candeur nouvelle et ma simplicité, A mon frère le pampre et ma soeur la groseille Qui sont la jouissance aimable de l'été, Je serai si sensible et si jointe à la terre Que je pourrai penser avoir connu la mort, Et me mêler, vivante, au reposant mystère Qui nourrit et fleurit les plantes par les corps. Et ce sera très bon et très juste de croire Que mes yeux ondoyants sont à ce lin pareils, Et que mon coeur, ardent et lourd, est cette poire Qui mûrit doucement sa pelure au soleil... ...... Bon jardinage oncle Charles

Lorraine Côté, le 16 décembre 2013

Famille et Mme Mariette Beaulac

Je ne peux être parmi vous pour rendre hommage à oncle Charles. Lorraine .......... Voici un poème que je dédie à la mémoire de Charles-Eugène Côté .......... Quand je ne serai plus là, lâchez-moi ! Laissez-moi partir Car j'ai tellement de choses à faire et à voir ! Ne pleurez pas en pensant à moi ! Soyez reconnaissants pour les belles années Pendant lesquelles je vous ai donné mon amour ! Vous ne pouvez que deviner Le bonheur que vous m'avez apporté ! Je vous remercie pour l'amour que chacun m'a démontré ! N'allez pas sur ma tombe pour pleurer ! Je ne suis pas là, je ne dors pas ! Je suis les mille vents qui soufflent, Je suis le scintillement des cristaux de neige, Je suis la lumière qui traverse les champs de blé, Je suis la douce pluie d'automne, Je suis l'éveil des oiseaux dans le calme du matin, Je suis l'étoile qui brille dans la nuit ! N'allez pas sur ma tombe pour pleurer Je ne suis pas là, je ne suis pas mort. Poème amérindien - Charlotte Néwashish ......... Et pour le grand jardinier qu'il était voici ce texte: Sous l’arceau du jardin potager L’Univers s’éclate en sanglots C’est la rosée du premier matin du monde Sur les aubergines, les courges et les concombres S’en allant tailler ses aumônières Le jardinier écrase innocemment La cigale qui revenait du bout de la nuit La bouche pleine des feuilles du cerisier Un vortex de champs magnétiques Lui remonte de la moelle épinière Jusqu’au cortex Et dans le corps calleux de la voie lactée les éphémères éclairent la mort de leurs morts L’escargot s’en va chagriner ses dimanches Le dos chargé de naines blanches Il s’en va faire du ménage dans ses méninges Celui qui rendait hommage aux roses sidérales Est tombé de sa nébuleuse cérébrale Il est sourd aux commérages de l’oseille, de la ciboulette et de la chicorée Il a des grenouillettes sous la langue Il bine, il bêche et il pioche Sur ses mots comme sur la terre Crénom de crénom de Dieu Il est étendu comme le ciel Entre les serfouettes, les griffes-fleurs et les tire-racines Sous le pont de Varole Ne recoulera plus la parole Son sang s’est coagulé dans la circonvolution de Broca Sa tête est médusée, son ventre dur comme une pierre Mouches! Asticots et mantes religieuses : Laissez-le tranquille... Il dort. Poème de Julien Hoquet .......... Et pour le cueilleur de pommes qu'était Charles-Eugène voici un autre beau poème intitulé: LE VERGER Le verger de Anna de Noailles (1876-1933) (Recueil : Le coeur innombrable) Dans le jardin, sucré d'oeillets et d'aromates, Lorsque l'aube a mouillé le serpolet touffu, Et que les lourds frelons, suspendus aux tomates, Chancellent, de rosée et de sève pourvus, Je viendrai, sous l'azur et la brume flottante, Ivre du temps vivace et du jour retrouvé, Mon coeur se dressera comme le coq qui chante Insatiablement vers le soleil levé. L'air chaud sera laiteux sur toute la verdure, Sur l'effort généreux et prudent des semis, Sur la salade vive et le buis des bordures, Sur la cosse qui gonfle et qui s'ouvre à demi ; La terre labourée où mûrissent les graines Ondulera, joyeuse et douce, à petits flots, Heureuse de sentir dans sa chair souterraine Le destin de la vigne et du froment enclos. Des brugnons roussiront sur leurs feuilles, collées Au mur où le soleil s'écrase chaudement ; La lumière emplira les étroites allées Sur qui l'ombre des fleurs est comme un vêtement. Un goût d'éclosion et de choses juteuses Montera de la courge humide et du melon, Midi fera flamber l'herbe silencieuse, Le jour sera tranquille, inépuisable et long. Et la maison, avec sa toiture d'ardoises, Laissant sa porte sombre et ses volets ouverts, Respirera l'odeur des coings et des framboises Éparse lourdement autour des buissons verts ; Mon coeur, indifférent et doux, aura la pente Du feuillage flexible et plat des haricots Sur qui l'eau de la nuit se dépose et serpente Et coule sans troubler son rêve et son repos. Je serai libre enfin de crainte et d'amertume, Lasse comme un jardin sur lequel il a plu, Calme comme l'étang qui luit dans l'aube et fume, Je ne souffrirai plus, je ne penserai plus, Je ne saurai plus rien des choses de ce monde, Des peines de ma vie et de ma nation, J'écouterai chanter dans mon âme profonde L'harmonieuse paix des germinations. Je n'aurai pas d'orgueil, et je serai pareille, Dans ma candeur nouvelle et ma simplicité, A mon frère le pampre et ma soeur la groseille Qui sont la jouissance aimable de l'été, Je serai si sensible et si jointe à la terre Que je pourrai penser avoir connu la mort, Et me mêler, vivante, au reposant mystère Qui nourrit et fleurit les plantes par les corps. Et ce sera très bon et très juste de croire Que mes yeux ondoyants sont à ce lin pareils, Et que mon coeur, ardent et lourd, est cette poire Qui mûrit doucement sa pelure au soleil... ...... Bon jardinage oncle Charles

Lorraine Côté, le 16 décembre 2013

Spécialement à Diane et Louise ,Laurent

Que ce message vous apporte le témoignage d'une sympathie profonde et sincère.

Rosanne Kenney ,Maurice Gonthier , le 17 décembre 2013

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